Année 2014, née le 01 janvier 2014 à 00h00, habite dans tous les pays respectant le calendrier grégorien.

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« Voilà, tu es sur ton 31 et il ne me reste que quelques heures à vivre et pourtant je ne suis pas triste. Tu vois, pas de peine, pas d’inquiétude, juste le sentiment d’une année écoulée et bien chargée. J’aimerais que tu passes mes dernières heures de manière la plus festive possible, autour d’un bon repas, bien entouré, avec un beau feu d’artifice, avec en tête tous les souvenirs de mon année qui s’est une fois de plus écoulée à la vitesse de l’éclair ! J’ai une pensée pour ceux qui travaillent ce jour, cette nuit et qui participent au bon fonctionnement de tes festivités. Même pour les plus récalcitrants à ce genre de célébrations, n’oublions pas qu’elles sont aussi l’occasion de se réunir et de témoigner aux personnes qui nous sont proches et à qui nous tenons combien elles sont importantes pour nous. »/Mon petit bonheur/ « D’avoir apporté mon lot d’événements heureux tels que des mariages, des naissances même princières, des belles rencontres, des beaux moments, de grands événements politiques, sportifs, éducatifs, caritatifs et bien d’autres encore. Mais également, de voir les habitants de cette Terre se surprendre et me surprendre par leur connaissance, leur génie, leur inventivité. En chacun de vous repose un être exceptionnel qui ne demande qu’à être réveillé. Et que depuis là où je serai, je puisse constater les évolutions positives de ce cheminement. » #mpb

/Ma plus grande préoccupation/ « Alexis de Tocqueville parlait d’un calcul coût/avantage qui définit les actions réalisées par les Hommes qui sont, selon cet auteur, des individus rationnels. Moi pour aller plus loin, j’aimerais mettre en avant le ratio points positifs/points négatifs. Et je souhaiterais que ce ratio penche le plus possible vers le positif, pour tout le monde. Mais il ne faut pas oublier que c’est toi qui es acteur de ce qu’il se passe. Combien de fois ai-je entendu ‘c’est une année pourrie’, ‘vivement l’année prochaine’, ‘c’est une année fantastique’. Mais je ne suis qu’une pancarte, qu’une excuse, qu’une date derrière lesquelles il est aisé de se cacher lorsque nos actions ont, ou n’ont pas eu l’effet escompté. Si tu as quelque chose à dire, dis-le. Si tu as quelque chose à faire, fais-le. Mais ne sois pas un mouton et dessine toi-même les contours que tu veux que ton année possède. Ce n’est pas que le chiffre des années qui compte mais les actions que tu as réalisées. » #mpgp

/Avant de mourir, je voudrais/ « J’aurais bien aimé que vous me posiez la question plus tôt. Les moments où l’on pense le plus à moi sont les premières heures de ma vie et les dernières heures de mon existence réelle. Bien sûr que je vais être présente très longtemps dans l’histoire et/ou dans le cœur et l’esprit de certaines personnes. Mais je me rends compte qu’il est vraiment propre à l’être humain de ne pas savoir profiter pleinement de ce qu’il possède et de ne réaliser que trop tard de ce qui lui est donné. Tu as toute l’année pour te réjouir d’un présent qui sauve parfois le cours d’une année difficile et, nous attendons sans raison la passation de pouvoir entre une année et l’autre, sans savoir ce que cette dernière nous réserve, pour préparer une fête comme nous n’avons pas osé en préparer plus tôt. L’Homme est fou mais c’est ce qui fait son charme. » #adm

/Message à faire passer/ « Je voudrais souhaiter une très bonne nouvelle année à toutes et à tous, à toi qui me lis. Que tes projets se réalisent et que tes plans s’accomplissent selon tes désirs. » #mfp

Fabien Morena

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Nicolas de Myre, né en Lycie au 3ème siècle ap.JC, habite en Laponie, pilote de traîneau volant, philanthrope, bon vivant.

NH-DR

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« Cela fait des milliers d’années que je parcours le monde tout en distribuant joie, bonheur, paix, réconfort et je ne m’en lasse pas. L’un de mes meilleurs souvenirs reste tout de même une aventure pour le moins périlleuse. C’était au mois de décembre 1939. On sait aujourd’hui les années terribles qu’a connu le monde à la suite de ce Noël si particulier. Les événements m’avaient emmené à faire une tournée expresse et secrète en Europe au mois de novembre afin d’essayer d’apaiser les esprits les plus tourmentés et d’éviter de terribles conséquences mais ce fut un échec. Heureusement, je ne me laisse pas décourager et bien qu’un grand nombre de lutins voulurent annuler Noël j’ai décidé de maintenir ce moment si cher à mon coeur depuis tant de siècles déjà. Seulement, nous avions pris un retard considérable dans la préparation de Noël et les lutins qui devaient partir répandre la poudre magique d’ambiance festive et féerique ne voulaient pas parcourir le monde en connaissance du danger qui planait sur notre bonne vieille Terre. C’est donc sans leur aide qu’une partie de mes travailleurs, ma douce épouse et moi-même avons préparé les fêtes de fin d’années. Et comme si tout cela ne suffisait pas, des tempêtes de neige et de sable étaient annoncées sur tout le globe. Le 24 décembre 1939 au crépuscule, mes fidèles rennes effectuèrent leur premier décollage de la saison. Tornade, Danseur, Furie, Fringant, Comète, Cupidon, Éclair et Tonnerre étaient fin prêts à parcourir les milliers de kilomètres prévus. Seulement, arrivés au-dessus de la ville de New-York, une tempête terrible se leva. Je ne voyais plus rien, ma barbe, gelée, était devenue aussi dure que la pierre, mes yeux pleuraient et j’avais l’impression que mes mains pouvaient se briser à tout moment en mille morceaux tant elles étaient congelées. Le pire était le manque de visibilité. C’était une vraie catastrophe et quelques paquets étaient déjà tombés du traîneau. Au moment où j’avais perdu tout espoir de survie et où je pensais que le crash était inévitable, un tout jeune renne pointa le bout de son nez de derrière mon épaule. Il s’était caché dans la hotte afin de pouvoir nous aider en cas de problème. C’était un renne volontaire mais dont se moquaient un peu mes lutins car son nez brillait très fort et illuminait de rouge tous les endroits où il passait. Résultat, Rudolph était mis à l’écart. Mais, lui, avait décidé que cet objet de moquerie deviendrait sa force. Il était différent et pour lui cela constituait sa plus grande qualité.
Voyant notre détresse au-dessus de la Grande Pomme, ni une ni deux, il sauta du traîneau et prit son envol. Mal traité par le vent, gelé par la neige et à la force de sa seule détermination, il atteignit la tête d’attelage de mon traîneau et nous guida majestueusement grâce à son nez lumineux jusqu’au sommet de notre première destination. Mes rennes, épuisés d’avoir volé si près du paradis, firent un boucan d’enfer en atterrissant sur la jolie petite maison soigneusement décorée. Le père de famille m’attendait donc, armes à la main, dans son jardin. Il pensait que j’étais un voleur alors que je venais plutôt pour lui remplir sa maison que pour la lui vider… S’en suivie une longue discussion passionnante. L’homme prudent était en fait le responsable d’une boisson gazéifiée dont vous trouverez le nom par vous-même… Admiratif de mon travail et voulant m’aider, il me proposa un relooking complet et une campagne de communication gigantissime. J’ai réfléchi quelques instants mais ai très vite accepté sa proposition pensant que cela m’aiderait à répandre plus facilement un esprit de bonté et de générosité dans le monde entier. Aujourd’hui encore son entreprise s’occupe de mon image et de mon habillement. Voilà une magnifique histoire partie d’un chaos et d’une différence considérée comme un défaut qui s’est finalement transformée de manière très positive. D’ailleurs Rudolph est aujourd’hui le capitaine de l’équipe d’élite de vol et c’est le plus respecté des rennes volants. »

/Mon petit bonheur/ « Vous savez, en 1700 années de vie je me suis rendu compte que mon petit bonheur était le vôtre… » #mpb

/Ma plus grande préoccupation/ « Certes je n’ai le temps de passer qu’une fois par an dans les demeures du monde entier, mais la raison pour laquelle je travaille encore est de maintenir allumée la flamme de générosité et d’altruisme qui brûle en chaque être-humain depuis sa naissance. Parfois cette flamme devient si faible que l’on peine vraiment à l’apercevoir mais elle est présente en chacun de nous. Les petits croient que je leur apporte quelque chose de matériel, les parents ne croient pas en moi. Or, j’existe bel et bien mais le matériel est ma dernière des préoccupations. Les paquets que je transporte dans mon traîneau sont magiques. Vous voulez savoir ce qu’ils contiennent ? Regardez les yeux d’un affamé que l’on nourrit, observez un homme qui a froid à qui l’on tend une couverture, parlez avec un milliardaire que l’on apprécie à sa juste valeur et non à celle de sa fortune, admirez un sapin qui brille de mille feux, profitez d’un feu qui réchauffe le corps et les coeurs, écoutez un chant de Noël, serrez dans les bras vos proches en leur souhaitant le meilleur et répandez l’amour par de simples actions autour de vous et vous saurez ce que contiennent mes cadeaux. Comme le nez de Rudolph, je suis une simple lueur qui brille dans la nuit, une sonette d’alarme qui rappelle où se trouve le vrai trésor de la vie. Chacun a un coffre fort rempli de merveilleux trésors en soi. La seule clé qui peut l’ouvrir est le partage. J’aimerais que les gens pensent à l’autre tout au long de l’année et pas seulement le 24 décembre et qu’ils réalisent que la vie est déjà bien assez magique et merveilleuse pour devoir lui ajouter des histoires comme celle qui raconte que j’achète des jouets aux enfants. Nul besoin d’artifices, notre monde est bien assez surprenant comme ça et vraiment ça me vexe un peu de me rabaisser au rang de distributeur de jeux. En réalité les jouets sont la dernière de mes préoccupations et mes cadeaux sont bien plus précieux. Souvenez-vous en, je suis certain qu’en faisant un petit effort vous pourrez vous rappeler de certains moments où mon travail a fait ses effets dans votre vie. Quelque soit l’âge que vous ayez, où que vous soyez, vous pouvez encore croire à ma magie. » #mpgp

/Avant de mourir je voudrais/ « Vous devriez adapter votre questionnaire à l’interviewé, je suis éternel… » #adm

/Un message à faire passer/ « Écoutez, je suis désolé mais je dois absolument y aller car ce soir, je m’invite chez vous !!! OH OH OH » #mfp

Charlotte, née le 28 juin 1991 à Brou-Sur-Chantereine (77), habite à Paris, étudiante en journalisme

Charlotte (NH-DR)

Charlotte (NH-DR)

« Je suis stagiaire à Nice Matin. Dans le cadre de mes études, je dois faire un stage en presse locale mais je souhaiterais plutôt travailler dans la presse nationale. Je rêve depuis toute petite d’être journaliste. J’ai grandi avec mon grand-père qui travaillait dans une imprimerie. Il revenait à la maison avec de l’encre sur les doigts et des journaux qui n’avaient pas pu être publiés, avec des ratures, des tâches. Aujourd’hui je suis vraiment contente de mettre son nom sur un journal afin qu’il soit imprimé à son tour… »

/Mon petit bonheur/ « Quand je suis sur le point de vivre un moment exceptionnel. Souvent, je ressens cette excitation quand je pars à l’étranger, la veille de prendre un avion. J’ai travaillé dans une rubrique « j’ai testé pour vous » et la veille de faire du saut à l’élastique pour un article, j’étais très heureuse. Je suis pressée de repartir pour un voyage à l’étranger car cela fait un moment que je n’en ai plus fait et cela me manque. J’ai vécu quelques mois en Afrique-du-Sud et cette expérience m’a vraiment marquée. » #mpb

/Ma plus grande préoccupation/ « Je ne sais pas du tout où je serai dans un an, mais cela ne me préoccupe pas plus que cela. J’ai envie de bien profiter de la fin de mon stage à Nice avant de retourner dans le Nord. Ca m’angoisse un peu de retourner dans le froid… » #mpgp

/Avant de mourir, je voudrais/ « Voyager avec les gens que j’aime. Enfin, beaucoup voyager ! J’ai plusieurs destinations en tête. L’Afrique, vraiment, mais aussi les pays de l’Est car j’y ai des racines et je sens qu’il y a beaucoup de choses à explorer. Je parle un petit peu russe et je pense qu’en approfondissant la culture des différents pays que je visite, je peux peut-être retrouver des éléments de l’identité des gens avec qui j’ai grandi. »#adm

/Message à faire passer/ « Savoir rester humble. Ne pas perdre de temps à rêver de grosses voitures. Le bonheur c’est peut-être de rester simple. Les gens que j’admire le plus sont ceux qui sont humbles. Je ne sais pas si je le suis mais j’espère le devenir et le rester. C’est quelque chose vers lequel j’aimerais tendre. » #mfp

Patricia, née en 1963 à Nancy (54), habite à Cagnes-Sur-Mer (06)

Patricia (NH-DR)

Patricia (NH-DR)

« J’habite seule avec mon fils dans la région niçoise où je me suis créé une famille de cœur avec des amis que j’ai rencontrés, ma famille vivant encore à Nancy. »

/Mon petit bonheur/ « La mer ! J’aime avoir accès tout de suite à la mer, rapidement. Dès que je monte sur un voilier, c’est une autre vie, un autre monde. Tout est simple, tout est tranquille. Je ne ressens plus d’angoisse vis-à-vis de rien, que ce soit mon fils, mon travail, ma vie. C’est apaisant, ressourçant et indispensable. » #mpb

/Ma plus grande préoccupation/ « Mon gamin ! J’ai 51 ans, la vie a beaucoup changée et l’avenir me fait peur pour lui. On a laissé à la jeunesse un monde pourri et cela me préoccupe de penser au monde dont les jeunes vont hériter. On a beaucoup détruit, que ce soit la mer ou la forêt et je me demande quel avenir nous allons leur laisser. » #mpgp

/Message à faire passer / « Restez simples et en harmonie avec le monde qui nous entoure. Que ce soit le monde matériel ou humain ! » #mfp

Jacqueline, née le 01 décembre 1941 à Angoulême (16), habite à Mont-de-Marsan (40) -Infirmière à la retraite

 

Jacqueline (NH-DR)

Jacqueline (NH-DR)

« Je reste un peu enfant dans ma nature, donc des événements qui m’ont vraiment marqués sont la mort de mon papa, qui est décédé alors que je n’avais que 14 ans et demi mais aussi le fait de ne pas avoir assez pu chouchouter ma maman à la fin de sa vie ».

/Mon petit bonheur/ « De voir l’ambiance qui règne chez mes enfants. J’ai trois garçons et deux filles et ils continuent à entretenir d’excellentes relations entre eux malgré le temps qui passe. Je suis aussi très sensible à la gentillesse et la délicatesse que mes enfants ont envers moi. Mon petit bonheur quotidien, c’est de pouvoir remettre mes enfants et mes petits-enfants dans la main du Père, dans le cœur du sauveur Jésus, dans l’amour de l’Esprit-Saint. Je les remets aussi sous le manteau maternel de Marie et dans les bras de Joseph. J’aime prier chaque jour, je ne commence quasiment jamais une journée sans la prière et ça m’aide à rester dans la confiance et dans la paix, que ce soit dans les situations de joie ou dans les épreuves. » #mpb

/Ma plus grande préoccupation/ « L’unité dans ma famille. C’est paradoxal car je suis séparée de mon mari mais ce désir d’unité m’habite depuis toujours. Je suis récemment partie en Espagne avec toute ma famille et cela m’a procuré une joie profonde. Un mot que je déteste par exemple, c’est ‘ex’, que ce soit dans les relations comme dans les biens matériels. Je reste fidèle que ce soit dans le mariage, les amitiés ou même les habits et les meubles. Ce qui rentre dans ma vie n’en ressort pas. » #mpgp

/Avant de mourir, je voudrais/ « Je voudrais voir la conversion de tous mes enfants. » #adm

/Un message à faire passer/ « Aimez-vous les uns les autres comme Jésus vous a aimés. » #mfp

Florence, née le 12 décembre 1965 à Lille (59), habite à Menton (06), professeur d’anglais

 

Florence (NH-DR)

Florence (NH-DR)

« J’étais à Budapest à la fin d’une mission pour les relations internationales de l’IUFM. On venait de négocier des contrats Erasmus. Le dernier jourdans ce pays, j’ai rencontré par l’intermédiaire de mes collègues, un vieil hongrois de 75 ans qui avait vécu à Paris étant jeune et qui avait surtout une histoire intéressante. Au début de la Seconde Guerre mondiale, son père a été mobilisé dans l’armée Russe. Après la guerre, lui et sa mère ont retrouvé son père. Ensemble, ils ont travaillé pour essayer de gagner assez d’argent pour retourner à Paris mais la guerre froide s’est installée. Il n’a donc pas pu rentrer en France et s’est installé en Hongrie où il a monté une entreprise de car de tourisme. Par amour pour la France et les français, ce monsieur nous a offert un tour gratuit dans l’un de ses bus à travers Budapest. Puis, le soir venu, il nous a emmené et invité dans le plus grand restaurant de la capitale hongroise et nous y avons passé une merveilleuse soirée, inoubliable et incroyable. L’orage apportait une lumière particulière à ce magnifique moment. C’est un de mes plus beaux souvenirs, une histoire de rencontre, profonde, humaine, qui m’a fait plonger dans l’histoire du vingtième siècle. »

/Mon petit bonheur/ « Boire mon thé le matin lorsqu’un rayon de soleil traverse ma cuisine. » #mpb

/Ma plus grande préoccupation/ « L’intolérance ambiante et l’ignorance. Les deux cumulés sont catastrophiques et explosifs. » #mpgp

/Avant de mourir, je voudrais/ « Trouver l’homme de ma vie ». #adm

/Un message à faire passer ?/ « L’important c’est l’humain, tout simplement. »#mfp

Mathilde, née le 6 juin 1982 à Montreuil (93), habite à Nice (06)

Mathilde (NH-DR)

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« Le premier jour où j’ai eu mon chat est vraiment l’un de mes plus beaux souvenirs. Il courait partout mais dès que je me suis assise, il est venu téter mon pantalon et s’est endormi sur moi. Il m’avait adopté. »

/Mon petit bonheur/ « La pâtisserie. » #mpb

/Ma plus grande préoccupation/ « Réussir quelque chose dans ma vie. »#mpgp

/Avant de mourir, je voudrais/ « Eduquer un enfant. » #adm

/Un message à faire passer/ « Prenez conscience des limites de notre planète (pétrole, eau, etc.), sinon nous allons tous mourir ! » #mfp