Camille, 37 ans, née à Nice (06), habite à Nice (06), Employée à la Métropole Nice Côte d’Azur après 12 ans dans une communauté de communes de la vallée de la Tinée

Camille (NH-DR)

Camille (NH-DR)

« La rencontre avec mon fils après ces 9 mois à l’attendre, à l’imaginer, à croiser les doigts en espérant que tout se passerait bien reste mon plus beau souvenir… C’est un instant magique, il me tardait tant de le ‘rencontrer’… »

/Mon petit bonheur/ « Ce qui me rend heureuse dans la vie : un beau film qui m’émeut et qui me fait croire en l’avenir de l’Homme… Et bien sûr les sourires de ceux que j’aime ou de ceux que je ne connais pas d’ailleurs !!!! » ‪#‎mpb‬

/Ma plus grande préoccupation/ « Les temps sont durs pour les sensibles… Quand on regarde ce qu’il se passe autour de nous, ça donne envie de s’enfermer à la maison et de n’en plus sortir : la mort d’Hervé (Gourdel), les milliers de femmes, d’hommes qui meurent chaque semaine en Méditerranée, les gens privés de liberté au nom du pouvoir et de la domination… Tout cela m’effraie car je croyais en l’Homme et que tout cela vient sérieusement attaquer mes convictions !!!! » ‪#‎mpgp‬

/Avant de mourir, je voudrais/ « Laisser une trace, si petite soit elle !!!! Me dire que j’ai apporté ma pierre à l’édifice d’un monde meilleur… Hormis ces grandes théories, j’ai toujours rêvé d’aller voir les pôles… Pas gagné, je suis déjà super frileuse en habitant Nice… » ‪#‎adm‬

/Message à faire passer/ « ‘Il ne faut pas de tout pour faire un monde, il faut du bonheur et rien d’autre’ – Paul Eluard !!!
Respectons-nous, indignons-nous (comme nous invitait à le faire Hessel), ne lâchons jamais une parcelle de notre liberté, aimons-nous… » ‪#‎mfp‬

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Lamya Essemlali, née en 1979 à Gennevilliers (92), habite à Paris, militante écologiste et présidente de l’association Sea Shepherd France depuis 2008 #seashepherd

Lamya Essemlali (NH-DR)

Lamya Essemlali (NH-DR)

« J’ai toujours eu une sensibilité envers les animaux. Le point déterminant dans mon engagement a été la rencontre avec Paul Watson. Je me suis reconnue dans son discours, il met en mots et traduit en actes ce que je ressens. Mon plus beau souvenir est avec Sea Shepherd. C’était en Antarctique le jour de noël 2005. Nous étions à la recherche du baleinier japonais Yushin Maru. Il y avait une houle de 8 mètres de haut, le bateau nous fonçait dessus. Il fallait virer de bord pour l’éviter, Paul Watson nous disait ‘Non, on ne bouge pas. Si on bouge autant rentrer à la maison’. Les sirènes du Yushin Maru retentissaient pour nous faire bouger et on nous annonçait une collision dans deux minutes. On pensait que c’était terminé. A la dernière minute, le bateau a viré de bord, c’était incroyable ! Un peu d’angoisse, mais aucun regret. »

/Mon petit bonheur / « Il y a plein de petits bonheurs mais si je dois en choisir un, ce serait de passer du temps avec les gens que j’aime … Que ce soient des humains ou pas d’ailleurs. » ‪#‎mpb‬

/Ma plus grande préoccupation/ « Ma plus grande préoccupation serait d’essayer de ne pas me tromper de chemin. J’aimerais, en me retournant sur ma vie, me dire que globalement j’ai fait les bons choix. J’aimerais être en paix avec moi-même au moment de ‘ma sortie’. » ‪#‎mpgp‬

/Avant de mourir, je voudrais/ « Je me sentirais accomplie si j’ai le sentiment d’avoir joué ma part dans ce destin commun. Ce chemin est en construction, on verra où j’arriverai à la fin. » ‪#‎adm‬

/Message à faire passer/ « Il faut s’écouter. Essayer de vivre sa vie en adéquation avec ses convictions. Cela peut sembler simple comme ça mais très peu de gens le font et je pense que c’est à l’origine de beaucoup de névroses individuelles et collectives, on ne s’écoute pas assez. On est dans une société qui nous formate pour nous dire ce qui est bien pour nous ou pour la planète, qui nous fait croire que le bonheur c’est telle ou telle chose, alors que souvent, quand on y réfléchit, on a déjà tout. » ‪#‎mfp‬

Laura Moreau née le 5 novembre à Southport, habite à San Francisco (même si je déménage et que je suis déjà à Hawaï), photographe (sympa lol)

Laura (NH-DR)

Laura (NH-DR)

« Il n’y a heureusement -et peut être malheureusement-, pas qu’un événement qui a marqué ma vie ! Ces moments sont déterminés pas les humains que je rencontre ou que je perds… En ce qui concerne les tournants dans ma vie : j’ai souvent le tournis. »

/Mon petit bonheur/ « Mes amis, ma famille, les gens que je rencontre… tout simplement ! » #‎mpb‬

/Ma plus grande préoccupation/ « Avec tout ce qu’il se passe en ce moment, je dirais la situation actuelle de l’humanité, on aimerait tous changer une part du monde et comme on le sait tous, c’est pas vraiment évident… » ‪#‎mpgp‬

/Avant de mourir, je voudrais/ « Beaucoup de sourires, je veux voir beaucoup de sourires ! » ‪#‎adm‬

/Un message à faire passer/ « Le ‘je m’en foutisme’, c’est naze. Prenez soin des gens qui vous entourent, étrangers ou pas. Et croyez en vous, bisous ! » ‪#‎mfp‬

Actualité : Visitez son site web dédié à son amour pour la photographie :http://autisticblues.tumblr.com

Portrait de Bruno Caliciuri dit Cali, né le 28 juin 1968 à Perpignan (66), auteur-compositeur-interprète #cali

Cali (NH-DR)

Cali (NH-DR)

« Il faut que je vous parle d’un seul événement ? C’est difficile, il y a un milliard de trucs. Mais il y a quelque chose qui a été très fort. C’était à l’orée de toute ma carrière, quand je faisais beaucoup de bals de village. Mon papa allait partir et on ne lui donnait plus qu’un mois à vivre. Il me demandait parfois : ‘Pourquoi tu fais ça ?’. Il ne m’avait jamais entendu chanter. Et un jour, avec mon orchestre, on est allé jouer dans mon village car j’y tenais. Mon père est venu me voir sur scène pour la première fois. Il s’est mis au fond de la place du village, fatigué, à m’écouter. Et puis à la pause, il est venu me voir, il m’a pris dans ses bras, il m’a embrassé et il m’a dit : ‘Ca y est, j’ai compris pourquoi tu fais ça, je suis ravi, très fier et c’est ça que tu dois faire !’. C’est comme si j’avais l’aval et l’adoubement pour la suite. Je dirais que c’est ça, oui. Lui était sur la fin de sa vie et devant moi s’ouvraient les portes de l’autoroute. Alors je pouvais partir, vers l’inconnu certes, mais avec l’adoubement de mon père. »

/Mon petit bonheur/ « Ça peut paraître banal mais on est souvent sur la route, à droite à gauche. On le sait quand on choisit de vivre cette histoire-là mais ce qui me rend complètement heureux, c’est quand je rentre à la maison. J’ai trois mômes et un petit bout de deux ans et j’ai l’impression qu’elle n’aime que moi. Elle est toujours agrippée à moi, elle m’adore et elle le dit à tout le monde. Donc le reste je m’en fous. Ça me fait du bien de retrouver la vraie vie. Je vis des choses extraordinaires, je suis heureux dans ce que je fais. Tous mes textes ne sont que les polaroïds de ma vie. Je n’ai jamais vu quelqu’un, jamais consulté. Ma thérapie, c’est d’écrire des chansons et de raconter tout ça. J’essaye de ne jamais m’autocensurer, de ne jamais mettre aucune limite à mes émotions. J’ai tellement menti dans ma vie, j’essaye de mentir le moins possible avec mes chansons. » ‪#‎mpb‬

/Ma plus grande préoccupation/ « Mes pensées, c’est en rapport avec ma musique mais aussi avec la vie. J’en reviens toujours à la même chose mais c’est important. Ce que je veux, c’est réussir à expliquer à mes enfants que ce n’était pas mieux avant. J’ai des souvenirs merveilleux mais aussi malheureux, comme tout le monde. Seulement, avant, tout allait beaucoup moins vite. C’est-à-dire qu’aujourd’hui, quand un drame se déroule et qu’il se passe quelque chose de terrible à l’autre bout du monde, chaque foyer le sait la seconde d’après. On a donc l’impression qu’il y a plus de choses dramatiques qui arrivent aujourd’hui mais il faut leur expliquer que ce n’est pas vrai, qu’il y a toujours des belles choses et qu’il faut se raccrocher à ça, que ça vaut le coup de choper ces belles étincelles et de se dire qu’on a la chance de vivre quelque chose qui peut être magnifique. Et que ça dépend aussi de nous. » ‪#‎mpgp‬

/Avant de mourir, je voudrais/ « Alors d’abord, je voudrais monter sur le bateau d’Arnaud Boissières, par exemple, car le surnom de ce navigateur est Cali. Je ferais donc le tour du monde avec lui. Quand je reviens de cette croisière, Bruce Springsteen m’attend sur le quai et me demande de faire un duo avec lui. Alors, on fait le duo et quand on l’a fini, il y a David Bowie qui n’est pas loin, il y a aussi Mick Jagger. Ils me proposent : ‘Viens faire l’apéro avec nous’. Donc je vais prendre l’apéro avec eux. Après, je vais bientôt mourir et j’entends une voix qui me dit ‘approche, approche, je t’attends’. C’est Léo Ferré.
Voilà ce que je veux faire avant de mourir. Et puis aussi je veux braquer une banque. Juste pour l’adrénaline du braqueur. Parce qu’on a beaucoup d’adrénaline dans ce qu’on fait mais j’aimerais un jour connaître le truc de la peur. Débarquer et hurler : ‘Hauts les mains, la bourse ou la vie’. Le mec me donne tout et je m’enfuie en courant. Connaitre cette adrénaline-là, j’aimerais bien. » ‪#‎adm‬

/Message à faire passer/ « Wahou, si j’avais un micro qui était entendu par tout le monde ou si je devais pousser mon dernier cri, je dirais aux gens : ‘Ne faites jamais confiance à un cowboy’. Ne me demandez pas pourquoi mais j’aime bien cette phrase. Comme ça, quand les intellectuels la liront, ils penseront : ‘Wahou, quel esprit’. Et les autres diront : ‘Quel petit con’. »‪#‎mfp‬

/ACTU/
Dernier album « L’Âge d’or » sorti le 9 mars 2015

Retrouvez Cali en concert partout en France jusqu’au 25 juillet (http://www.infoconcert.com/artiste/cali-26941/concerts.html)

Notamment au Théâtre de Verdure à Nice le 24 avril 2015
http://www.calimusic.fr/

Jenny Monty, née le 9 octobre 1982 à Monaco (98), habite à Londres (Angleterre), Human Resources Advisor

Jenny (NH-DR)

Jenny (NH-DR)

« Mon déménagement de la France vers Londres a été un réel tournant dans ma vie. J’ai donc changé de pays, de culture et de vie. Ça a été une révolution dans le sens où je suis quelqu’un qui anticipe et prévoit tout à l’avance et je suis partie quasiment du jour au lendemain. Je suis arrivée ici avec pour seul logement un petit appartement loué pour neuf jours et, à partir de là, j’ai reconstruis ma vie entière. Avant d’arriver ici, je vivais à Monaco. C’est une toute petite ville, presque semblable à un village, où tout le monde se connaît. Ma famille m’entourait et j’étais donc en sécurité. Aujourd’hui je suis dans une grande capitale européenne. Au départ je ne connaissais personne, il a fallu que je m’adapte à la langue, que j’accepte de vivre en collocation. Je suis passée de la vie seule dans mon appartement à la cohabitation à neuf. Je partageais mon premier logement londonien avec un couple d’espagnols, un sud-africain, une hongroise, un allemand, un malaisien, une malaisienne et un italien. Ces conditions ne m’ont pas dérangées du tout. En quittant la France je suis allée chercher mon rêve. Pour moi, Londres représente le rêve américain à l’échelle européenne. Effectivement, au début les conditions sont très difficiles mais, par contre, j’y ai gagné quelque chose d’inestimable, l’espérance, la permission de rêver à nouveau et pourquoi pas la promesse d’un super futur. La différence, ici, c’est qu’à force de travail, on peut y arriver. »

/Mon petit bonheur/ « Londres est une ville magnifique, mais au niveau nourriture c’est une catastrophe. Donc mes ami(e)s francophones et moi aimons partager un peu de nourriture française que nos familles nous envoie ou que l’on ramène. Ça peut être un petit saucisson, un peu de rosé, un morceau de fromage. Voilà, c’est devenu mon petit bonheur, tout simplement. » ‪#‎mpb‬

/Ma plus grande préoccupation/ « L’avenir. Je suis presque au stade, dans ma vie, de pouvoir fonder une famille. Je m’interroge donc sur le lieu où élever une famille. Ma génération a été une génération où il y avait encore des opportunités à saisir. A mon avis, avoir des enfants aujourd’hui est très difficile. Il y a un accès magnifique à tout plein de choses mais c’est aussi une ouverture sur le danger. L’avenir, au niveau professionnel comme au niveau de la sécurité, n’est pas gagné. Je me demande donc où je vais bien pouvoir vivre et élever mes enfants. Avoir des enfants, oui, mais dans quelles conditions ?. » ‪#‎mpgp‬

/Avant de mourir, je voudrais/ « J’aimerais laisser une trace derrière moi. Réaliser une grande œuvre caritative, par exemple. Je n’irai pas jusqu’à faire une invention mais je voudrais que mon nom soit synonyme de quelque chose de beau, un exploit particulier. » ‪#‎adm‬

/Un message à faire passer/ « L’éducation est gratuite. Une majorité des problèmes que nous avons est due à l’ignorance. Je pense que si on se focalisait davantage sur le fait de s’éduquer, pas uniquement au niveau intellectuel mais simplement apprendre à être ouvert, s’ouvrir aux différentes cultures. N’ayons pas peur des choses que l’on ne connaît pas. Au contraire, allons-y, renseignons-nous. On n’a jamais fini d’apprendre. Lorsqu’on arrête d’apprendre, on arrête également de grandir et on régresse même. Je pense que l’ignorance est la source de conflits, de beaucoup de comportements qui n’ont pas lieu d’être. Eduquez-vous ! » ‪#‎mfp‬

Jean-Philippe Moret, né le 25 décembre 1980 à Marignane (13), habite à Cagnes-sur-mer (06) – Assistant technique motoriste

Jean-Philippe (NH-DR)

Jean-Philippe (NH-DR)

Portrait d’un coureur au Trail d’Eze – Alpes Maritimes 06 2015.

*TRAIL* « C’est mon premier trail. J’ai relevé le défi afin de vivre une nouvelle expérience. J’ai envie d’arriver au bout et de recommencer la pratique du sport de manière régulière. C’est vraiment un plaisir d’être ici ».

« Je suis parti à Londres pendant 10 ans et je suis revenu dans la région il y a 5 ans. J’ai rencontré ma compagne et ça a été un bouleversement dans ma vie. Je suis passé du déséquilibre à la stabilité ».

/Mon petit bonheur/ « Faire des randonnées à deux et faire des compétitions avec ma femme. J’aime aussi me poser au calme, au milieu de la nature, dans un endroit apaisant ». ‪#‎mpb‬

/Ma plus grande préoccupation/ « Former un capital que je puisse laisser à ma famille ». ‪#‎mpgp‬

/Avant de mourir, je voudrais/ « J’aimerais acquérir une maison et la payer entièrement ». ‪#‎adm‬

/Un message à faire passer/ « Don’t worry, be happy ». ‪#‎mfp‬

Myriam Benhaddou, née le 8 octobre 1966 à Oran (Algérie), habite à Eze (06), responsable du bureau de poste et conseillère municipale depuis 2014

Myriam 2 (NH-DR)

Myriam (NH-DR)

Voilà notre premier portrait réalisé au Trail d’Eze – Alpes Maritimes 06 2015 ! Un hommage aux bénévoles qui se sont levés avant le soleil pour faire de cet événement une réussite sportive et humaine !

*TRAIL* « C’est la deuxième fois que je participe au Trail d’Eze organisé par Cédric Amand. J’aime le bénévolat et participer à la vie de ma commune. J’aime faire des rencontres et me sentir utile. Une journée comme aujourd’hui est tout ce que j’aime ».

« La naissance de ma fille est vraiment mon plus beau souvenir, forcément ! Autrement, je garde toujours en mémoire les moments que je passe entourée de mes proches. Un événement m’a particulièrement marqué dans ma vie, c’est le décès de mon papa qui n’a pas eu la chance de connaître ma fille ».

/Mon petit bonheur/ « Mes ami(e)s, ma famille et mon travail me rendent heureux. Je suis aussi reconnaissante d’être en bonne santé. J’adore me retrouver sur une terrasse au soleil en train de siroter un verre, toujours entourée. Je n’aime pas être seule ». ‪#‎mpb‬

/Ma plus grande préoccupation/ « J’ai peur de ce qui se passe actuellement. L’islamisme et les événements que nous venons de vivre en France m’effraient. J’aimerais que les gens s’unissent et que nous vivions en paix ». ‪#‎mpgp‬

/Avant de mourir, je voudrais/ « J’aimerais faire le tour du monde mais surtout rendre mes proches heureux. J’aimerais aussi un homme, gentil, sérieux, serviable et qui peut aussi me rendre heureuse ». ‪#‎adm‬

/Message à faire passer/ « Aimez-vous, soyez heureux et n’emmerdez pas les autres. Profitez de la vie, elle est belle ! Ce n’est pas une fois qu’on a perdu un proche qu’il faut dire ‘si j’avais su’ » ‪#‎mfp‬

Jean-Pierre, né le 18 janvier 1957 à Casablanca (Maroc), habite à Istres (13), retraité de la Police Nationale

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« La mort de mon père est quelque chose qui a marqué ma vie. C’est comme si un maillon de la chaîne de mon existence s’était brisé. »

/Mon petit bonheur/ « La présence de mes petits-enfants à mes côtés, je n’ai pas besoin d’autre chose. Cela suffit à mon bonheur. » ‪#‎mpb‬

/Ma plus grande préoccupation/ « C’est d’être en bonne santé. En ce moment c’est pas terrible car j’ai accumulé beaucoup trop de choses et je suis fatigué. Mais j’envisage de courir et me reprendre en main pour aller mieux. » ‪#‎mpgp‬

/Avant de mourir, je voudrais/ « Je voudrais absolument aller en Israël. Je ne suis pas religieux mais ce sont mes origines, mes racines. Et pourtant je n’y suis jamais allé mais je sens à l’intérieur de moi que j’appartiens à cette Terre. Ma mère est juive, ça doit être la raison qui me pousse vers la Terre Promise. » ‪#‎adm‬

/Un message à faire passer/ « Aimez-vous les uns les autres. C’est l’amour qui guide tout, qu’il soit humain ou divin. » ‪#‎mfp‬

Nora, née le 16 juillet 2006 à Lausanne (CH), habite à Romanel (CH)

Nora (NH-DR)

Nora (NH-DR)

« Une fois, j’ai touché des requins avec mon grand-papa et ma grand-maman et c’était génial ! Ensuite j’ai bien aimé aussi un spectacle avec des dauphins que je viens de voir. »

/Mon petit bonheur/ : « Jouer avec ma sœur Amira, manger des crêpes, sortir dehors et jouer avec mes amis. » ‪#‎mpb‬

/Ma plus grande préoccupation/ : « Les chiens parce que je les aime pas, ils me font peur. Quand j’en vois un, je cours ! » ‪#‎mpgp‬

/Avant de mourir, je voudrais/ : « J’aimerais voler et être invisible. Comme ça, je pourrais aller partout où je veux et je pourrais embêter mon frère Karim sans qu’il me voie ! » ‪#‎adm‬

/Message à faire passer/ : « J’aimerais dire à tout le monde que j’ai une petite sœur et comme ça les gens me connaissent. Et aussi que j’ai des bonnes notes à l’école. » ‪#‎mfp‬

Clélia, née le 5 mai 1999 à Monaco (98), habite à Monaco (98)

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« Je suis partie en vacances en Israël il y a deux ans et c’est comme si ça m’avait changé à l’intérieur. Ça a changé ma vision. J’étais loin de penser découvrir ce que j’ai découvert là-bas. »

/Mon petit bonheur/ « Voyager à l’étranger avec la famille. J’aime bien découvrir des choses nouvelles qui n’ont pas de rapports avec ma culture. »‪#‎mpb‬

/Ma plus grande préoccupation/ « Je veux réussir mes études et trouver ce que je veux faire plus tard. » ‪#‎mpgp‬

/Avant de mourir, je voudrais/ « Fonder ma famille. Je ne sais pas vraiment pourquoi mais c’est important pour moi. » ‪#‎adm‬

/Message à faire passer/ « Je remercie ma mère pour tout ce qu’elle a fait pour moi et pour mes frères et sœurs. Elle nous élève toute seule, nous sommes 4 enfants et je ne la remercierai jamais assez pour ce qu’elle a fait pour nous. » ‪#‎mfp‬